
Il était une fois, le cinéma par Calista
Quand a commencé le cinéma ?
Le cinéma a commencé en 1891.
Demandez, demandez la curiosité ! Faites monter chez vous la "belle lanterne magique".
Des colporteurs crient dans la rue...
Un drap blanc, une lanterne magique à l'unique lentille, une bougie comme source lumineuse, c'est là le tout premier équipement du cinéma...



C'est Thomas Edison qui commence en créant le Kinétographe , un peu la première caméra.
Mais qui a inventé le cinéma ?
Ce sont les Frères Lumière, Auguste et Louis.
Le premier film cinématographique est sorti en 1892-93.


Lumière, Son, Couleur, Décor, Effets spéciaux ...
Cent ans d'exploits !

Et pour en savoir plus, c'est ici > > > >
Le Tigre noir par Emma

Le Tigre noir est très longtemps resté une légende mais on sait maintenant qu'il existe réellement. Un jour, on a arrêté des braconniers et une de leurs peaux n'était pas comme les autres : elle était noire.
Ensuite, on a aperçu des tigres noirs dans l'état d'Orissa, en Inde. En fait, il n'est pas vraiment noir : ses rayures sont plus larges donc on a l'impression qu'il est noir.

Les Yeux du Tigre noir
Les yeux du Tigre blanc ou orange sont verts transparent et non dorés, comme on le penserait. Ceux du Tigre noir, par contre, sont bleus vif.
Le tigre a une vue de nuit 9 fois supérieure à celle de l'homme.
La légende du Tigre noir
En Inde, il y a plus d'un siècle, un tigre a semé la terreur dans des villages. Il aurait attaqué une centaine de personnes en allant même les chercher dans leurs propres maisons ! On ne comptait plus tout le bétail qu'il avait mangé. Sans oublier les chacals, les hyènes et même les panthères.
Ce tigre était un buveur de sang. On croyait qu'il était la réincarnation d'un démon : le magicien Mârîcha, qui pouvait changer d'apparence.


Le dieu Râma avait tué Mârîcha d'une flèche. Mort, celui-ci ne pouvait plus revenir sur Terre mais il pouvait toujours envoyer son ombre des enfers. On l'appelait alors Kâlâ (noir en hindi), l'ombre du démon. On le reconnaissait à sa couleur : celle des ténèbres.
Kâlâ fit plusieurs apparitions, tuant toujours beaucoup de personnes, sans jamais qu'on puisse l'attraper.
Comme dit le proverbe : "Un tigre peut disparaître à tout moment derrière une feuille ou une brindille".
La première Guerre Mondiale par Alexis

La guerre se commence en 1914
et se termine en 1918
Deux systèmes d'alliance vont s'opposer :
La Triple Entente (France, Russie, Angleterre)
La Triple Alliance (Allemagne, Autriche, Italie)
La bataille de Verdun

En mai 1915, l'Italie change de camp et rejoint la France dans la Triple Entente.
En février 1916, les Allemands attaquent brusquement à Verdun, car ils disposent d'un important réseau de voies ferrées pour amener leurs soldats jusque-là (les Français ne peuvent compter que sur une

route étroite et un petit chemin de fer pour relier Verdun à l'arrière du pays).
Les combats de Verdun seront très violents et feront beaucoup de victimes (avec notamment l'utilisation des gaz chimiques)
La guerre des tranchées


La vie quotidienne dans les tranchées est très difficile. Les soldats français, surnommés les poilus, souffrent : de la faim et de la soif, de l’humidité et du froid, des rats et des poux, des odeurs nauséabondes, de l’absence presque totale d’hygiène, de la peur permanente d’être blessé ou de mourir. Les soldats trouvent du réconfort : dans le soutien de leurs camarades, dans les lettres et les colis de leur famille, dans les rations de vin et de
cigarettes fournies par l’armée, dans la confection d’objets, lors des permissions.
La fin de la guerre

Le 11 novembre 1918, l'Allemagne demande l'armistice (elle se rend).
L'armistice est signé dans un wagon (dans la forêt de Compiègne) entre l'Allemagne, la Grande Bretagne et la France.
Le traité de Versailles en 1919 rend l'Alsace-Lorraine à la France et oblige
l'Allemagne à payer des dommages de guerre.
Le bilan humain est terrifiant : près de 10 millions de soldats tués dont environ 1 400 000 soldats français !
Edouard Manet par Ludivine et Elsa
Edouard Manet ( 1832 - 1883 )
Édouard Manet est né à Paris en 1832. Issu d’une famille aisée, il songe à une carrière dans la marine, mais il échoue au concours. Cela ne l’empêche pas d’embarquer sur un bateau-école à destination de l’Amérique du Sud : au cours de ce voyage, poussé par son goût pour l’art, il réalise déjà de nombreux dessins. Et quand il revient à Paris, quelques mois plus tard, son choix est fait, il étudiera la peinture.
À partir de 1852, pour parfaire ses études picturales, il se met à voyager : en Hollande puis en Allemagne, en Autriche, en Italie et surtout en Espagne, où il laisse éclater son admiration pour les toiles de Vélasquez et Goya.
L'influence des maitres Espagnols
Ses premières oeuvres comme « l’Enfant aux cerises 1858-1859 » sont influencées par les maîtres espagnols : ses sujets sont tirés de la vie de




tous les jours et traités avec une grande vigueur, accentués par des contrastes lumineux obtenus avec des couleurs pures. Manet s’inspire énormément de Vélasquez, par la manière dont il fait entrer la lumière et par le noir qui revient énormément dans ses tableaux comme « Jeune homme en costume de Majo de 1863 ».
Pissaro un jeune peintre impressionniste dira de lui : « Manet a fait de la lumière avec du noir. »
Manet s’intéresse aussi aux tenus que portent les Espagnols : grandes robes pour les femmes comme « Lola de Valence » et costumes pour les hommes. Des couleurs bien tranchées, posées comme des taches, sans détails inutiles... Manet a bien retenu la leçon des peintres espagnols quand il peint ce jeune militaire en 1866 en train de jouer du « fifre ».
Un bar aux Folies-Bergères
Ce tableau peint en 1882 est le dernier grand chef d’oeuvre de Manet. Il représente un bar alors très à la mode, réputé pour ses spectacles. Manet a spécialement reconstitué l’intérieur de la salle dans son atelier pour

pouvoir le peindre, et a pris comme modèle Suzon, une jeune serveuse. Derrière elle, dans la glace, se reflètent le comptoir et tout l’intérieur des Folies-Bergère provoquant un effet de profondeur.
Léonard de Vinci par Hugo et Cédric
Léonard de Vinci ( 1452 - 1519 )
Léonard de Vinci est un artiste florentin de la Renaissance, à la fois peintre, sculpteur, architecte, ingénieur et scientifique.Il est passionné par la musique, le dessin et les sciences. Il est très curieux et s’occupe de géométrie, de mathématiques. Il étudie l’anatomie qui va lui faire connaître « la mécanique du corps humain ». Léonard de Vinci est le premier artiste à disséquer le corps humain et ses recherches déboucheront sur une nouvelle image réaliste de l'homme.

Deux Œuvres
La Cène ( 1495 )

La cène représente « le dernier repas du Christ » entouré de ses apôtres. On y voit Jean son meilleur ami et Juda qui l’aurait trahi. Cette fresque a été peinte sur les murs du réfectoire du couvent Santa Maria delle Grazie. Elle mesure 8 mètres de long et est si belle que l’on raconte que le roi de France, Louis XII, envisagea de découper le mur pour l’emporter en France !
La Joconde ( 1503 )

En octobre 1503, Léonard de Vinci peint le portrait de Mona Lisa del Giocondo qu’on appellera La Joconde. Le portrait est peint sur le fond d'un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. La source de lumière provient essentiellement de la gauche du tableau. La femme est assise sur un fauteuil dont on aperçoit le dossier à droite du tableau. Ses mains sont croisées, posées sur un bras du fauteuil.
À l'arrière plan se trouve un paysage montagneux dans lequel se détachent un chemin sinueux et une rivière qu'enjambe un pont de pierre. Elle porte une robe et, sur la tête un voile noir transparent. On remarque qu’elle est totalement épilée, conformément à la mode de l'époque, elle ne présente ni cils, ni sourcils. Le sourire de la Joconde constitue un des éléments énigmatiques du tableau. Il est l’un des premiers dans l’histoire de la peinture. Le tableau se trouve au musée du Louvre à Paris.
